À la Route à 10 h 20 pour voir la « négociatrice » immobilière. Visite des lieux. Elle dit 500 000. Nous : 1 million. Déjeuner chez les Pothier avec les Monnier. Désolés de notre futur départ. Retour de 17 h 23 à 19 h sur l’autoroute bourrée.
Catégorie : octobre 1989
2 octobre 1989
Mal fichu. Cdf de Mme Larquet (Laon). Truc admis au lycée classique ; lui achètera les livres que je rembourserai. Transmis à Élise.
Le laveur de carreaux travaille à ma cave l’aprèms.
3 octobre 1989
Gris frais. Lettre de Davidov (Rose Schiaffino), plutôt froide. Va publier, écrit-il. Lu des contes de Maupassant. Peter : apporte une lettre de Kl. Gerstein concernant une famille française qui aurait eu affaire à K.G., dans un camp de concentration.
Cirque Pauwels : soirée Pépète. Bourrée. Les Gilbert, Delannoy, Clerc, I. Rognoni, les Chevalier, Eruyen, Georges le trompette, Serge Lask, Xintian et son fiancé, Peter, tous les gens de Filiforme, Françoise de Latour, Frédéric le directeur commercial de Gilbert. Gilles sur l’estrade des musiciens, Georgio en face sur celle des lumières. Tout bien rythmé, éclairé. Émouvant – surtout la petite-fille de Pépète, Alexandra 9 ans. Rentrés vers 1 h avec les Chevalier et Isabelle Rognoni.
4 octobre 1989
Beau. Surtout lu (Maupassant). Obtenu le numéro de téléphone du correspondant allemand de Kl. Gerstein qui connaît la famille française. Demain, Peter lui téléphone.
5 octobre 1989
Plus que beau. Soleilleux. Avec Peter, Cdf à la famille Monbrisson (Montfavet, Paris). Pas là. Rappellerons aujourd’hui.
Prix Nobel de la Paix au Dalai. Déjeuner chez I. Clerc (nouvelles de « Paris journal » qui semble mort-né).
6 octobre 1989
Beau encore, et frais.
17 h rue Falguière chez Laffont Seghers. Rencontré dans les couloirs Guy Schoeller, qui m’aide à trouver le bureau de Fournel (me demande si « on ne se connaît pas », s’il n’a pas connu ma femme : je lui certifie qu’elle est d’une obscurité à toute épreuve ; « Toutes les femmes sont obscures », dit-il).
Fournel : 1) K.G. : vu le travail de dactylographie à faire (700 pages), on le fera à l’ordi pour alléger les frais de composition (700 p à 25 F par page…).
2) « Journal du soir » : Laffont refuse. Fournel le fera par sa petite société personnelle, mais il faudra réduire pour que le texte tienne sur 4 p. de journal. R.V. après Francfort.
7 octobre 1989
Frais. Cdf à Penent. Il répond. Parlé du « Journal du soir ». Toujours disposé à participer (avec Stéphane Gatti). Vient déjeuner. Longuement parlé du journal qu’il ne veut pas voir réduire. « Ce ne serait plus la même chose. On doit présenter l’objet – pas un équivalent ». Grandement réconforté par la visite.
À dîner, Peter et Isabelle Rognoni. Parlé de la mort (cancers !), du patriarcat, d’Akhenaton, de Moïse, de Barcelonnette, etc.
8 octobre 1989
Froid. 11° au balcon. À la Route. Ondées et giboulées, vent. Retour 14 h 30.
9 octobre 1989
Yom Kippour. Jeûne. Gris. Travaillé sur K.G. – avec les corrections de Peter. Cdf de Gilles (aller à Thionville voir la danseuse et le château des Wendel).
10 octobre 1989
Train Laon avec Beï 8 h 29. Vu la ville (souvenir très vague d’un procès Duguet). Visité la cathédrale. Déjeuné aux Chevaliers. Tribunal d’instance 14 h 15. Le juge (Melle Rouillon) expédie vite et gracieusement l’affaire. Me voici subrogé-tuteur (tuteur, le frère aîné). Truc et Deng pas là : un coup fourré de la Larquet. Allé au lycée. Pas là. Repris le train (17 h 08). Cdf vers 20 h de Truc : Mme L. ne voulait pas qu’il vienne, au lycée il est resté jusqu’à 16 h puis malade a voulu rentrer (amygdales).