Cdf à Mme Hocquard. Hélène, après avoir hésité entre aller en Italie, venir chez moi et rentrer, est rentrée : arrêtée. Sa fille l’a été aussi (Barbara). Personne ne répond chez Châtelain. Pas de nouvelles de Danielle qui n’a pas le téléphone.
Allé voir chez Danielle. Véro et Stéphane, libérés, sont là. Châtelain encore en garde-à-vue. Récit : le déploiement de forces au 110. La perquisition chez Danielle où l’on avait amené le petit Jojo, mais la politesse et les égards des flics (consignes !) de l’avis général : Croissant sera extrad
Catégorie : octobre 1977
2 octobre 1977
Hélène sortie hier soir – inculpée de recel de malfaiteur.
3 octobre 1977
Téléphoné à 8 h à Hélène. Très gaie, très détendue. Part ce soir pour voir Gatti à Pianceretto. Revient vendredi. Lui dis de dire à D. que le fils de Caillaud est mort.
4 octobre 1977
Resté à travailloté. Tél. à Gilles Lacombe – a terminé son travail (film). Est prêt, moi pas. Attendre la 2e dactylographie.
1er jour d’école d’infirmière d’A.
6 octobre 1977
Bibliothèque rue La Bruyère : les martyrs de Troyes (texte original).
8 octobre 1977
À déjeuner les Caillaud (Claude, Francis, les dames, Ivan le fils de Claude).
9 octobre 1977
Chez Hélène (Épicerie). D’abord seule, puis Stéphane, Jojo et Gus (en instance de départ pour l’Isle-d’Abeau). Me demande de l’appuyer en parlant à ses amis les dissidents, à propos de Croissant et de la RAF, de la signification de l’anticommunisme en Allemagne fédérale (pas du tout le leur), de la figure e Springer (qui les paie à peu près tous).
10 octobre 1977
Docu PM : dossier Springer. Peu de choses.
11 octobre 1977
Tél. à J. Noli (VSD). Tout de suite me demande si je vais travailler là, si je connais Gorini et Siégel. RV vendredi.
13 octobre 1977
Téléphoné à Pottecher pour Lattès éditeur (il vient d’y éditer ses souvenirs – Hélène cherche un éditeur pour ses dissidents et elle-même Makhno).