Vu à 9 h 30 Delort. R.V. pour lundi, même heure. Le monsieur est occupé. Ensuite, Gragnon qui a reçu de Pelletier une lettre acceptant sa démission.
Gatti vers 18 h. Travaillé, dîné, travaillé jusqu’à 1 h. Couche dans l’ex-chambre d’A.
Catégorie : octobre 1975
2 octobre 1975
Travaillé matinée.
À déjeuner, outre Gatti, Gus et Walter Tachini (décor.). Plus tard, André. Conseil général sur le décor.
Dîner avec Dante. Télé. On trouve le titre du journal « Le Joint » (on = Dante).
Cdf de Gragnon : Pelletier lui dit qu’ayant démissionné on ne lui donnera pas ses indemnités.
Dante : je n’aurais jamais quitté D. C’est elle qui m’a mis dehors au retour de Cuba – j’avais tout pour rester, travailler, être heureux. Silence.
3 octobre 1975
Dante parti pour la Maison de la radio (émission Attoun).
PM. Déjeuner à la cantine avec Dante.
De là, chez Valle, où nous rejoint André : Valle désolé, pas la clef du local – le syndic ne l’a pas ou l’a confiée à quelqu’un.
Retour, rencontré Penent. Il y a eu lundi dernier une grande réunion sur les charrettes à lancer (JP, Mme G.B., J. Diwo, Farran, Delort, Mauge, etc…).
Seuls Mauge et Farran ont voté pour les licenciements. Delort leur a faussé compagnie à la dernière minute. On aurait gagné trois mois, selon Penent.
RV à 15 h avec Villèle (sur sa demande, plus ou moins). Candidat au comité d’entreprise, veut déboulonner Grunebaum. Me demande mon appui.
4 octobre 1975
Au courrier, Trafalgar ! Lettre de Pelletier me disant que je suis « démissionnaire ». Consulté Penent – et Dante avec qui j’embarque à 2h30 pour la Route. Menus travaux de nettoyage et déplacement de meubles. Puis, travail sur l’espace insurrectionnel. Est-on fondé à l’installer, n’est-ce pas gratuit, un effet pour être optimiste à tout prix ?
Aussi la pulvérisation en groupes de dispersion (MLF, etc…).
5 octobre 1975
Beau.
Travaillé après les courses (ferme, Villeneuve-le-Comte). Réécrit la continuité « acteurs » (SLA, voyou, etc…). À 4 h, arrivée de Kravetz. Je m’en vais à 5 h.
6 octobre 1975
9 h 30, vu Delort. Montré la lettre de Pelletier. Exposé ma position. Parti. Téléphoné à Th. Lévy. R.V. dans la soirée, à 18 h chez lui, avec Penent. Lettre à Pelletier.
Vu Croizard, Château, etc… Indignés par « l’escroquerie ».
Tandis que je regardais la fin du film (« Mourir à Madrid »), on ouvre la porte : la piote, retour de Rivesaltes, vendanges faites. Gaie, brunie. Partie deux jours avant la fin.
Cdf de Davidson. Son fils va venir à Paris. Voudrait qu’on le voit un peu.
7 octobre 1975
À la Route à 9 h 30, Kravetz en repart à 2 h après une petite séance de travail.
Cdf d’I. Clerc
Travaillé dans la chambre : fait le début (présentation des personnages).
Kravetz de retour à 8 h. Télé.
Séance jusqu’à 2 h du matin.
Penent a envoyé la lettre recommandée.
8 octobre 1975
Terminé le début.
L’aprèms, débat sur les journalistes, qu’est-ce que c’est pour eux ? Quelle et la chose qui a le plus compté ?
Allé à Tournan tous les trois aux achats.
De 6 h à 9 h re-journalistes.
Dîner. Télé.
9 octobre 1975
Départ 11 h 30.
Déjeuner tous les trois à la maison.
PM. Vu Penent, puis Diwo qui va poser la question : pourquoi, alors qu’on cherche à licencier des gens, ne donne-t-on pas ses indemnités à J. ?
Vu aussi à Télé 7, Serval qui a vu G. Arnaud : « Il t’aime beaucoup ».
Cdf à la maison de la secrétaire de Delors: un rendez-vous. Je le vois à 9h30 mercredi.
Cherché Beï à Montparnasse.
10 octobre 1975
À déjeuner, Renée Henry et sa fille Françoise qui s’installe à Paris (école du Louvre).
L’aprèms, déluge d’orage. Vu I. Clerc. Petite fête au Mémorial pour la fête de Croizard (retardée).