Très beau, ensoleillé partout.
Catégorie : novembre 1981
2 novembre 1981
Lecture : Lettres de Mozart. « Elle » : F. Gilles me dit qu’on a le temps pour le papier Sophia Loren. La mort de Georges Brassens a tout « balayé ».
3 novembre 1981
Rêve de la nuit : rencontre de MHN qui regarde mon visage et dit avec une douce conviction, pas très éloignée de la satisfaction : « Comme vous avez changé ».
Fermé la maison. Car. Train.
4 novembre 1981
Arrivés 7 h. « Elle ». Accueilli par des cris amicaux. Je suis finalement assez populaire.
5 novembre 1981
Cdf à ML de G. Nicod. Me demande s’il peut poser ma candidature à comité central de la Licra. Refusé. Expliqué que je ne veux « figurer » nulle part (bien que mon père eût considéré cette offre Licra comme un grand honneur).
6 novembre 1981
Recommencé travail « Mulot » jusqu’à 6 h 30. Essai de télépathie sur un nom. Rien.
7 novembre 1981
Gris. Travaillé dernière partie de Mulot. Télépathie. Rien.
Joëlle Hocquard rue Custine : on revoit son papier pour un journal de F. Gilles (« Machines spéciales ! »). 2 h.
9 novembre 1981
Cdf d’un chercheur M. Roch ( ?) sur les rapports Gerstein. Lui ai demandé de m’écrire ses questions (chat échaudé craint le sourisson). .
10 novembre 1981
Déjeuner avec G. Nicod (Licra) rue de Paradis. Parlé du passé (à côté de nous, des amis à lui, fabricants de cuir du Sentier, polonais, qui regardaient les gens dans la rue et ne remarquaient que les passants portant cuir).
Cdf vers 16 h à « Elle ». Fermé demain. F. Gilles me demande de venir jeudi, mais je vais à Angers enterrer la tante. La Gilles ironise. Peu apprécié la chose.
11 novembre 1981
À 16 h au Grand Palais, salon d’Automne. La table de B. Vu le fouillis du reste, du savoir sans savoir-faire et beaucoup de pauvre faire-savoir.
Dîner rue de Lille chez Orsenna avec Mme et un couple de leurs amis (A… qui a fait pour Ramsay un « livre de dates »).