Banque puis consulat du Népal. Visas demain. Cherché un Français à qui le journaliste indien à Paris m’a recommandé. Pas trouvé.
Catégorie : mars 1981
À la recherche de Roberge. On le trouve ! Un jésuite cinéaste. Longue conversation Calcutta : l’Inde de mère Térésa.
Pris passeports visés, puis temple de Kali à Alipore. Agitation forcenée. Visite du musée indien (un bric à brac poussiéreux). Cdf à l’Alliance française. R.V. à 17 h. Rencontré le prof de français. Dîné ensemble. Nous amène chez lui où on boit et discute avec ses amis, le vice-consul Demarchis et un jeune postier engagé pour trois mois dans l’œuvre de mère Térésa. Orage sur Calcutta.
Train 9 h 55 pour Gaya. La même cohue que d’habitude. Une heure de retard. À la nuit à Gaya. Échoué dans un hôtel indien.
À Boddhagaya en scooter, retour par un car bondé et des plus « odorant ». Le temple de Mahaboddhi, l’arbre, le musée. Retour à Gaya par le car. Pris le thé chez une Indienne, femme de médecin rencontrée dans le train.
Attendu 4 heures le train de Bénarès. Hôtel Farran. Promenade en rickshaw.
La barque sur le Gange le long des Ghâts. Le bazar, les temples. Vers 4 h, visite à un journaliste. Dans son bureau. Nous envoie en scooter visiter l’université.
Train de 13 h pour Delhi.
Arrivée 9 h (1 h 30 de retard). Hôtel Alka. Pas de place dans l’avion du 24. Seulement le 31. Essayé par l’ambassade de France (M. Morel, attaché de presse) d’en avoir. Peu fructueux. Invités à dîner. Voyage Népal aboli : manque de roupies.
Train pour Agra 7 h. 11 h Taj Mahal. Dans l’herbe toute la journée jusqu’à 5 h. Puis gare, thé, train.
Dîner chez les Morel.