Levé 5 h. Train d’Auray 7 h 07. Corrigé manuscrit de Grunwald (déportation Auschwitz). Car à Auray. Quiberon 13 h. Découverte du « château ». Baraque début de siècle, confortable.
Catégorie : juin 1985
Gris, venteux. Grande houle. Marché deux heures jusqu’à la thalassothérapie (maison de retraite temporaire de luxe). Corrigé les souvenirs de Grunwald. Apéritif avec les châtelains au premier. Il est négociant en nourriture pour bêtes à Hennebont. La « vache de Turgot » meugle en mer.
Cdf à Desbret, du Morse. En mer, dit sa femme. Dommage.
Gris. Mer plate. Commencé le V (qui me plaît). Apéritif chez les amis de Beï et Léon (Guy et Alain). Soleil l’aprèms. Lecture d’un livre sur Quiberon (l’Affaire des émigrés). Terminé dans la nuit le Grunwald.
Départ pour Paris dans la voiture de Léon. Arrivée 16 h 30 (524 Km).
Courrier. Lettre de compliments de J. Belot (Télérama) pour mon article sur le Dalai lama. Serait-il passé ?
Beau. Cdf Pelamourgue (journaliste à St-Flour) pour lundi (enquête sur la Tondue). Visite de G. Grunwald. Remise du manuscrit corrigé. À dîner à la pizza, Mme Léon et les Desmaisons (lui, lointain, désabusé).
À La Route en passant par Dormont (maison de retraite d’un vieux serviteur des Léon. Propre et mélancolique).
Cdf de Tony Crofts 18 h. Croit pouvoir faire éditer « Tonton » en anglais. Me demande un papier que je lui envoie. Cdf de Chevalier (RV demain à la gare).
« Elle » jusqu’à 11 h. Puis gare de Lyon, train St-Flour avec Chevalier et Christine. Tortillard de Clermont à St-Flour sous le soleil. Taxi de basse ville à haute ville. Hôtel Europe. Michel, journaliste à « La Montagne ». Allé avec lui à la maison d’Esther. Dîner ensuite à l’Europe, parmi une carrée de Suisses alémaniques. Connaissance de la patronne, M. qui a travaillé avec « Tout est autrement que les journaux ne l’ont dit ». RV demain matin avec Michel pour voir le facteur, le directeur du supermarché, les amies d’école (s’il y en a).
Moins beau qu’hier. Avec Pelamourgue, chez les carmélites, la mère supérieure. Visite de la maison Albony. Cdf à l’hôpital d’Aurillac. Réponse cet aprèms.
Cathédrale : le bon dieu noir du XIe siècle (ou XIIe). Vu le directeur du supermarché Escale, Solignac, livreur des Albony. Apéritif chez les Pelamourgue. Dîner au « Canton » dont le patron a connu Esther. Nous fait attendre, puis se présente : « Je ne dirai rien ». (M. Pitot.)
Allons à Aurillac demain. Grève des chemins de fer. Repartirons 4 h du mat.
Taxi à 8 h pour Aurillac sous la pluie. Aurillac à 10 h. Centre hospitalier. Ville bien changée depuis la dernière fois. Hôpital : vu la Dr Lablanquie (vision nouvelle : l’amour). Puis, le théâtre (pour voir J.P. Lacoste, bloqué à Paris par la grève de la SNCF). Allé en taxi à 14 h 30 à Marcolès sur la tombe de Théo par une pluie insistante, persistante, battante. Dit le « Chema ». Appris en redescendant par Chevalier, qui le tient de l’adjoint de Lacoste (Pâris) qu’une troupe de Monthezon (Les Fédérés ) monte en janvier « La Passion selon St-Flour ». Tant pis.
Petite chambre au snack bar de la gare.
Train 8 h pour Brive et Paris. À Brive, le Capitole. 13 h 50 Paris. Assez beau.
Lettre de Bruno m’annonçant l’arrivée du tanka, que je savais d’ailleurs par Georges.