Catégorie : juillet 1952

Le soir, chez Gatti, avec Michaux et Petrus et Bernard. Les soucoupes volantes (on y croit). Retour 1 h.

10-12 h. Départ avec Trecourt, Yves Bardin et Manguiez pour Le Croisic (navigateur solitaire Le Tourmelin de retour). Arrivée 21 h.

Famille Le Tourmelin, le père abusif réclame 3 000 F pour donner une photo, songe à faire fabriquer des cartes postales.
A la pêche sur l’estacade : pris un poisson. D’ailleurs pluie.

Orages. Papier paru.

Organisé réception Le Tourmelin (banderolles, pétards, etc). Le soir, dîné à l’Océan (la vieille anglaise qui jouait au poker : 75 ans).

Régate des Émetteurs français. Toujours pas là ! Manguiez, engagé par moi dans le gymkana local, le gagnant par supercherie. Vu Mme X et Mme Melville à l’hôtel Manon ensuite. Mme X… très bien.

Réveil à 5 h. Embarqués sur « La Coquette des mers » 9h 30, avec Lemay, Roldes, Trécourt, Blanchard. Le mal de mer fait des ravages y compris sur moi. Mer démontée : 5 m de creux. Retour 15 h et re-départ (moins les éléments éprouvés : Lemay et Trécourt). Trouvé le « Kurun » à 10 milles vers 16 h 30. Escorte, pétard, foule, acclamations, etc., etc. les deux dames. Vu Sevry arrivé trop tard.

Retour Paris 10 h 30. Arrêt Angers à la brune maison. Paris 20 h. Vu Gatti (Michaux lui a dit qu’il me trouvait « sympathique »).

Terre-Neuve se présente mal. On verra demain.

Vu Petrus, en plein travail : oubli, signal lapidé (séquences) pour Darmstadt.