Pédicure. Métro (encore difficile). Vu Allard à la cuisine (bureau de Gilles).
Catégorie : décembre 1988
22 décembre 1988
Envoyé fleurs à Mme Gerstein. Dentiste 10 h 45. Revenu déjeuner. Reparti au 7 bis vers 13 h 30.
23 décembre 1988
Journée au 7 bis.
24 décembre 1988
Gris. Humide. Dîné avec Beï de quelques mets festifs (boudin blanc, canard au cassis, bûche).
25 décembre 1988
Beï grippée. Parti à Houx chez Gilbert, passé la journée. Train à Montparnasse 9 h 35. Gilbert à l’arrivée. Déjeuner avec les filles et gendres, des amis aux Gilbert (Heggendorf ?) et la sœur le Valérie – « la perle noire ». Train à 17 h 03.
26 décembre 1988
Assez beau. Au 7 bis 9 h 45. Le creux de la vague chez les scéno et les concepteurs. Dans la bonne direction ou pas ? Vu Nini de Rimini au restau et Marie-France, retour de Cuba avec Claude. Beï mieux.
27 décembre 1988
Beau. 16 h Dr Gélin. Normal. Tension 13,7. On continue.
Levé vers minuit. Idées pour les 36 justes : ébauche rapide de la pièce jusqu’à 3 h.
28 décembre 1988
Pris le 56. Plus de grève depuis hier. Travaillé, tous, concepteurs et scénographes, à la révision des bornes.
29 décembre 1988
56 pour le 7 bis. Suite de l’examen des bornes. Long et serré. Pour resserrer.
Cdf à Gatti. Fatigué (d’après Joëlle) de ses premiers jours à Fleury. Mange à la cantine comme les taulards. « Ils sont bien démunis… plus que les loulous de Toulouse… Ces portes ! … ». Convenu que j’irai voir. Discussion sur le n° du journal consacré à la pièce des loulous.
30 décembre 1988
Beï toujours grippée. (Rêvé de son père, évanoui dans mes bras, cette nuit.) Passé à la banque. Puis le 7 bis. Suite de la révision des bornes. Rentré vers 19 h avec Nicole Piantanida, un peu déprimée.