Gris. Ariane m’amène à la gare de Prades. À Paris à 20 h 19. Lu le manuscrit de Mireille Péninou.
Catégorie : 1994
5 décembre 1994
Levé 10 h. Grand soleil. Cdf de Clerc. N’a pas pu trouver de billet pour la conférence du D.L. à la Mutualité. Me propose d’y aller quand même. Non. Fatigué. Je me sens mieux (en général). C’est l’avis des proches.
6 décembre 1994
Froid. Cdf de Pottecher. Ce que je deviens ? Le lui explique. Me parle de son âge. (Devine ! 89 ans. Bientôt j’aurai les 90). Songe à se faire incinérer. Qu’est-ce que j’en pense ? On se verra à la St-Sylvestre, mais que Marie-Claude ne se crève pas pour autant…
Retour des casquettes ? Cinq dans le 8 vers 17 h.
Suicides de Debord et Roger Stéphane.
7 décembre 1994
Froid. Gris. Envois d’argent (Handicap International, Restaus du cœur, Amnistie internationale). Visite « d’adieu » de Vincent Soldevila. Veut s’en aller. Apporte quelques affaires dont sa robe de chambre. Germaine est à l’hôpital. Et il a l’impression qu’on veut le voler. A des billets de banque dans les poches de pantalon. Veut s’évader de la vie présente, recommencer. Je l’invite à déjeuner. On verra. Dentiste 16 h. Me dit : « Vous avez l’air d’aller mieux ».
8 décembre 1994
Gris. Pluvieux.
9 décembre 1994
Pluie. Signé la vente vers 18 h (rue de la Bienfaisance dans les bureaux d’Aubert). Le notaire Chabre s’était déplacé.
10 décembre 1994
69 Kg – pesé nu. Téléphoné à Bruno Doux (pour l’assurance Bergerie continuée par Aubert). Envoyé le contrat d’assurances à Aubert. Tél. à Tessier le plombier.
Deux visites de Vincent Soldevila, mal en point du côté mental. (Croit être volé, dépouillé pendant que Germaine est à l’hôpital.)
Cdf dans la soirée de Nicole Piantanida. Déjeuner un de ces jours.
12 décembre 1994
17 h 30. Visite du photographe Boutros Nabil, photographe, ami de M. Simon. Doit faire des photos (mobile et 2 tableaux) que me réclament les auteurs du colloque raisonné de Calder. 600 chaque tableau, 1 200 le mobile.
13 décembre 1994
Très beau matin de printemps. Visite de Lask, pour quelques jours ici. M’apporte un papier de J.-J. Lerrant sur son expo. Je lui achète une épreuve de sa gravure (Chiens). Avec Beï, vers 19-20 h rue des Taillandiers 24, présentation du livre d’Espitallier (un poème sur le métro avec des aquatintes de T. Bastit).
14 décembre 1994
9 h à Pantin. Lecture : le poème d’Espitallier. Bon.