Sec. Gris et bleu. Peu dormi. Travailloté. Réparé la guirlande lumineuse. Remis un tableau tombé.
Préparé chapitre VIII du livre. Commencé le chant de guerre du SM.
Catégorie : 1985
2 janvier 1985
Gris, froid.
Allé à Libération pour le papier SM. Accrochage avec le secrétaire de rédaction (qui ne veut passer les photos qu’à sa façon). Plus tard, vers 18 h, retour. Je me heurte aux correcteurs qui n’aiment pas que des rédacteurs viennent corriger. Ils en font tout un plat. Intervention de Bouguereau.
Téléphoné à Allégret la parution du papier demain (Desbret absent). Content. Aimable.
3 janvier 1985
Il a neigé. Toits blancs. Envoyé un mot à Bouguereau sur l’incident des correcteurs. Cdf de Braudeau : papier pris à l’Express, paraîtra le 18. ……
4 janvier 1985
Encore neigé. Gare St-Lazare : billets pour Perpignan. Cdf de Pringot à propos de Gatti (il a raté sa lecture) et de moi (il est le seul à avoir le papier dans Libération. « Elle ». Petits travaux. À 7 h à la fête annuelle dans la cantine. I. Clerc. Fête snobée par les grands. Que le petit personnel.
6 janvier 1985
– 5° au balcon. Beï toujours malade songe à ne pas m’accompagner voir Ariane mardi. Travaillé : beaucoup d’idées pour le SM.
Tempête de neige vers 17 h – 10 cm.
7 janvier 1985
– 5 ° sur le balcon. Express : coupé papier. Vu Braudeau, Heymann, puis Derogy et Pontault, l’équipe de détectives.
« Elle », puis déjeuner Beaubourg. Un froid coupant. L’onglée.
Terminé chapitre VIII. Train pour Perpignan, parti seulement à 21 h 45 (20’ de retard).
8 janvier 1985
Dormi. Réveillé près de Carcassonne. 1 h de retard. Pipi gelé en bloc dans les WC. Correspondance pour Villefranche de justesse. À la gare, Ariane et le bébé. À Casteil dans sa 2CV, après café et courses à Vernet. Ciel bleu, froid, sans neige.
9 janvier 1985
Bien dormi. Regardé un film. Essayé de téléphoner (illustrations pour le SM). Personne. L’aprèms, avec Ariane, à Prades. Achats, dont la chaise haute de Clément. Pas très froid.
10 janvier 1985
À Vernet avec Ariane et le piot. L’aprèms à l’abbaye avec Clément sur le dos. Vu le père de Chabannes qui se plaint qu’il n’y voyait pas un moine, mais des laïcs. Beau soleil. Ariane me conduit à Villefranche. Train, Perpignan 21 h 16.
11 janvier 1985
Dormi. Arrivée 7 h 45. Neige vers 9 h.
Le soir, Cartoucherie « Kafka » par Ph. Adrien. Des images. Du Fellini mâtiné d’un Kafka convenu. Non sans talent. Mais toujours la démangeaison du « metteur en scène-auteur ». Reçu de Dominique Dubreuil un manuscrit à lire (la suite de ses essais-médiations).