Chaud. 11 h. Vu Dominique Lempereur à Télé Libération à propos de Pholan et Sobhraj. À 12 h 30 café « Au départ » Luxembourg : déjeuner (mal) avec Poliakov. Parlé expo, judaïsme, goulag comme père des K.Z. De là, chez Dubreuil (Jean), peintre, connu de F. de Latour qui est venue aussi voir ses peintures (paysages, bêtes, choses – parfois en bon équilibre entre figuration et abstraction).
De là, vers 17 h 30 au café « Océan » où m’attendait Thomas Harlan et Luisa. La malade, sauvée de la mort par Thomas qui l’a amenée de Rome à Paris, remise aux soins de Bernard, Mathé, Schwarzenberg, etc. Ses cheveux repoussent après les rayons et la chimiothérapie. Un peu forte. Mais forte surtout dans la tête : a gardé sa place à l’Institut roumain, écrit des contes. Thomas, qui a interrompu son film en Turquie pour la secourir – et s’occupe des enfants – va se remettre à travailler. Me fait lire son projet de film – que je dois élaguer, si besoin est.