Le papier sur la table ronde, malgré le travail fait avec Sidney Smith, ne passe pas. Croizard le trouve ennuyeux. On ne parle toujours que des néo-nazis, du scandale, les journaux allemands se déchaînent, malgré le démenti de J.P. Lacaze, sous l’œil de Croizard, me dit qu’il regrette ce qui nous a opposés lors de l’élection des délégués. Maintenant, solidarité à 100 %. Cartier m’a attaqué, et Lacaze, Thérond sont menacés à leur tour. L’histoire franco-allemande est devenue une histoire intérieure : elle peut servir de prétexte à une révolution intérieure. On dit aussi que les éditions Springer qui s’étaient affrontées avec J.P. pour le contrôle de Luxembourg ont déclenché le scandale pour se venger. Elles ont dénoncé le contrat qui les liait à PM (100 millions). J.P. tente conférence sur conférence.