Grève du métro. Pas bougé.
En bus,avec Ariane, aux Halles à 9 h. Une foule agglomérée autour des grilles du pavillon, criant, revendiquant, conspuant. Trop de monde. On ne laisse plus entrer les porteurs de billets… Après avoir tourné autour du quadrilatère (des jeunes escaladaient, se faisaient prendre, des invectives) avisé un responsable barbu, lui dis Presse. Nous entrâmes. La pièce est commencée, chevaux de feu blancs, monstres, tournois et joutes au-dessus des spectateurs debout, qui oscillaient, fuyaient, erraient, s’égaraient comme les acteurs. Magnifique. Un bouton arraché… retrouvé par Ariane (enthousiaste).