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1990 août 1990 carnets

18 août 1990

Pluvieux. Déjeuner au passage avec Beï et Rachel (inquiète pour Israël). Vers 20 h, à son retour du magasin, je dis à Beï : « La guerre est pour tout de suite ». Ensuite, chez Marion Scali, avec les Hocquard, les Kravetz, plus le fils de Scali, deux jeunes journalistes de Libération, attendu en dînant l’annonce. Pas faite.

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