Avec Beï, chez les Pottecher dans l’aprèms. Un peu amaigri, mais bien portant, me dit-il. Je le trouve plus causant, plus mémorieux (sauf 1 ou 2 minutes où il s’est mis à parler de sa voiture au coin de la rue, il allait nous reconduire…). On a évoqué les amis de la presse parisienne (surtout les morts), on s’est déclaré partisans des Nouvelles plutôt que du roman (« J’ai essayé d’en écrire un, jamais pu »). Deux heures de bonne conversation avec cet homme de 1905.
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